Voici un San-Antonio d'horreur. Mon premier. Pourquoi ai-je tant attendu avant d'aborder ce genre délicat ? Mystère. Car enfin, l'horreur, je sais ce que c'est. Chaque fois que, rentrant de voyage, je trouve un mètre de courrier sur mon bureau, ou que ma petite bonne portugaise laisse brûler le gratin de cardons, ou encore que je me trouve dans un banquet aux côtés d'un vieux gland surdécoré, l'horreur me livre toutes ses sensations fortes. Eh bien, malgré ma connaissance approfondie de la question, j'hésitais à plonger. Mais maintenant, c'est fait. Et tu vas voir comme! Pour mettre le paquet, j'ai mis le paquet ! Si tu trouves que c'est trop, va m'attendre dans le prochain. Tu le trouveras à ta mesure car ce sera une histoire de cons.

Voici un San-Antonio d'horreur. Mon premier. Pourquoi ai-je tant attendu avant d'aborder ce genre délicat ? Mystère. Car enfin, l'horreur, je sais ce que c'est. Chaque fois que, rentrant de voyage, je trouve un mètre de courrier sur mon bureau, ou que ma petite bonne portugaise laisse brûler le gratin de cardons, ou encore que je me trouve dans un banquet aux côtés d'un vieux gland surdécoré, l'horreur me livre toutes ses sensations fortes. Eh bien, malgré ma connaissance approfondie de la question, j'hésitais à plonger. Mais maintenant, c'est fait. Et tu vas voir comme! Pour mettre le paquet, j'ai mis le paquet ! Si tu trouves que c'est trop, va m'attendre dans le prochain. Tu le trouveras à ta mesure car ce sera une histoire de cons.

Pas de texte de 4ème de couverture

Voici un San-Antonio d'horreur. Mon premier. Pourquoi ai-je tant attendu avant d'aborder ce genre délicat ? Mystère. Car enfin, l'horreur, je sais ce que c'est. Chaque fois que, rentrant de voyage, je trouve un mètre de courrier sur mon bureau, ou que ma petite bonne portugaise laisse brûler le gratin de cardons, ou encore que je me trouve dans un banquet aux côtés d'un vieux gland surdécoré, l'horreur me livre toutes ses sensations fortes. Eh bien, malgré ma connaissance approfondie de la question, j'hésitais à plonger. Mais maintenant, c'est fait. Et tu vas voir comme! Pour mettre le paquet, j'ai mis le paquet ! Si tu trouves que c'est trop, va m'attendre dans le prochain. Tu le trouveras à ta mesure car ce sera une histoire de cons.

La grivoiserie, San-Antonio, ça le connaît.
Mais le porno stricto sensu... Faut pas pousser.
Et les satyres de René-Louis Blérot, homme de lettres libidineux, ça lui titillerait plutôt les phalanges. Surtout que l'immonde dégueulasse pousse le vice bien trop loin. Quand il ne découpe pas, tout bonnement, des petits garçons dans sa chambre d'amis - le sanglant maboule...
Avec ces gens-là, m'sieurs-dames, y a pas cent scénarios possibles : on saute les dialogues et on passe direct à l'action !