Pas de texte de 4ème de couverture

Publicité pour la collection Spécial Police

Présentation en N/B des 5 collections Fleuve Noir : Espionnage (la lutte des ombres), Spécial police (Enigme et suspense), Angoisse (la frisson de la peur), Aventurier (le gentleman justicier) et Anticipation (la réalité de demain)

Présentation en N/B des 5 collections Fleuve Noir : Espionnage (la lutte des ombres), Spécial police (Enigme et suspense), Angoisse (la frisson de la peur), Aventurier (le gentleman justicier) et Anticipation (la réalité de demain)

Présentation en N/B des 5 collections Fleuve Noir : Espionnage (la lutte des ombres), Spécial police (Enigme et suspense), Angoisse (la frisson de la peur), Aventurier (le gentleman justicier) et Anticipation (la réalité de demain)

Présentation en N/B, sous forme d'une carte de France, des 6 collections Fleuve Noir : Espionnage , Spécial police , Angoisse , Aventurier, Anticipation et Grands Romans

Pub pour le nouveau hors-série San-Antonio : Béru et ces dames, avec rappel des 2 titres précédents (L'Histoire de France et Le standinge). Présence de la photo du livre

Pas de texte de 4ème de couverture

Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. -Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ? - Non, San-Antonio: Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...

Pas de texte de 4ème de couverture

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Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. -Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ? - Non, San-Antonio: Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...

Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. -Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ? - Non, San-Antonio: Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...

Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. -Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ? - Non, San-Antonio: Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...

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Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. -Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ? - Non, San-Antonio: Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...

Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. -Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ? - Non, San-Antonio: Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...

Pas de texte de 4ème de couverture

Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. -Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ? - Non, San-Antonio: Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...

Credetemi, gente, un Sanantonio-massacro come questo, sono anni che non mi capita di raccontarlo ai miei milioni di fans (sempre modesto, eh, il commissario del vostro cuore!). Quindi se soffrite di disfunzioni cardiache, vi consiglio di saltare la vostra porzione mensile di emozioni e di andare a cogliere fiorellini nei prati o di dedicarvi alle opere pie.
Non mi ricordo neanche, così sui due piedi, quanti ne faccio fuori di malnati in questa bislacca avventura (mors tua, vita mea); ma uno lo ricordo bene: un bastardo di torturatore stile Gestapo, che mi stava facendo dei giochetti per niente cattolici (tipo Santa Inquisizione, tanto per intenderci). Bene, sapete che cosa gli ha fatto il Sanantonio? L’ha sbranato vivo! Parola! Non ci credete?
Be’, leggetevi questo Nespole come se piovesse e poi mi saprete dire se non è andata proprio così. Boia!

C'est sensible, un agent double. C'est délicat. Ça n'irait pas se faire refroidir sans lâcher un indice ou deux, histoire de soulager une conscience pas jojo.
Prenez Wolf, par exemple (et gardez-le). Si le flic refilait ses tuyaux maison à la pègre, y a pas de raison que ça ne marche pas dans l'autre sens de temps en temps, non ? Son confesseur (et néanmoins collègue) San-Antonio a beau se faire l'exécuteur des basses oeuvres, sur ce coup-là, on ne va pas chipoter pour si peu.
Mais le problème avec les mourants, c'est qu'ils n'articulent pas. Et ça, c'est déjà plus embêtant.